Collision, juron et baston !

S'il s'était pas arrêté, il aurait pas l'arcade sourciliaire défoncée et la lèvre en sang. S'il avait continué son chemin, il serait allé tout seul, comme un grand là où il allait, et il aurait pas fait tomber sa dernière cigarette dans une plaque d'égoût. Et il aurait pas frappé celui/celle qui l'avait bousculé. Et oui, Môssieur Lucas est agressif, et tout le monde le sait, mieux valait donc l'éviter lorsqu'il marchait dans la rue. Maaaais, alors qu'il portait la dernière clope à ses lèvres et se préparait à appuyer sur le briquet pour allumer la flamme, quelqu'un soit d'ex^tremement débile ou maladroit, soit extrêmement courageux le bouscula, envoyant sa cigarette hors de portée de ses mains, et, sans viser, il serra les doigts, et, envoya son poing en uppercut dans le ventre de celui/celle qui l'avait fait chambouler ses plans.

Et puis, apparement ayant subis une attaque non-justifiée, la victime de départ riposta, en lui donnant deux coups de poings au visage, le précipitant à terre. Il traîta la personne de 'Bâtard' et de 'fils de p**e', après quoi il se releva et lui donna une deuxième fois son poing dans le visage. Puis il cessa, attendant apparement une prise de parole, alors qu'il se passait les doigts sur son arcade sourciliaire douloureuse, et, s'essuyant la lèvre avec la manche de sa veste..

Avril qui justement cherchait Lucas l'apperçut l'arcade en sang ainsi que sa lèvre , elle le regarda un moment puis souriat. Oui elle était contente de le revoir , elle s'approcha de lui et dit ironique :

A ce que je vois toujours le même mon ti Lucas!

Elle le regarda puis lui passa un mouchoir :

Tiens sa seras mieu que ta veste!

Lucas se tourna brusquement, presque même tel un fauve qui attaque, vers Avril, apparement surpris de la voix qui s'était adressé à lui. Il la regarda, fronçant les sourcils, bien que son os crânien lui fasse souffrir derrière le sourcil droit. Lorsqu'elle lui tendit son mouchoir, il le prit, bien plus pour paraître poli avec elle que pour autre chose.. Il ne fallait pas se faire d'idées, non plus ! Puis il prit la parole.

Qu'est ce que tu fous là toi ? demanda-t-il sans grande grâce. Le mot douceur, désolé ou autre chose sentimentale ne faisait pas partie de son vocabulaire et remplacer le mot 'fous' par 'fais', c'était Mission Presqu'Impossible 53 ! Lucas détendit son visage, et, lança tout de même un regard assassin à celui qui l'avait bousculé, comme pour lui dire par le regard que non, il ne l'avait pas oublié celui là..

Avril le regarda bon beih on dirait qu'il est pas content de la voir , elle tristounette bah ouais forcément donc elle ne va pas lui dire qu'elle le cherché sa ferait cruche :

Je...euh...bah je marchait tranquille.

Elle le regarde un peu déçue est s'apprète a partir.

L'ayant apparement froissée (Lucas et son grand sens de l'observation viennent de frapper !), le jeune rebelle regretta sa parole, et, en grande première publique s'excusa délicatement avec le vocabulaire qu'il avait à disposition :

Scuz', j'voulais pas te l'dire comme ça.. Juste les coups qui me sonnent ! affirma-t-il, en retirant le mouchoir de son sourcil pour regarder le saignement. C'était pas trop grave, il n'allait pas en mourir non plus. Mais quoi qu'il arrive, il avait raté sa cigarette et devrait aller en chercher dans les poches de quelqu'un s'il ne voulai tpas bientôt péter un câble. Mais avec Avril, il pouvait bien se retenir de péter ce câble.. Non ? Il tenta un léger sourire, mais n'ayant jamais appris ce geste, encore moins mis à l'oeuvre, cela se transforma en rictus à moitié transformé en tirage de langue, et il cessa immédiatement de sourire.

Et comment ce fait-il que tu marches, seule et sans amis ? questionna-t-il pour ne pas la laisser lui filer entre les doigts. Ah non, pour une fois qu'ils étaient tout les deux sans des imbéciles du bled qui fixaient pour ricaner dans leur coin !

Elle le regarda et fouilla dans son sac. Elle sortit un paquet de cigarette et en donna une a Lucas.

C'est pas grave dit -elle après ses exscuses .

Elle le regarda puis rigolant en voyant qu'il essayé de sourire mais arréta aussitôt parceque le pauvre^^!

Bah euh ... en faite je te cherché!

Elle dit sa normalement sans gène pour une fois! Bah oui elle est avec l'homme qu'elle aime elle va pas lui cacher les choses non ?

Il la vit sortir un paquet de cigarette.. Miracle ! Et en plus elle le luit tendit, il le prit avec une certaine avidité (Et oui, être accro au tabac depuis qu'on a 12 ans..), puis, en tirant une avec agilité du paquet, il le rendit à Avril délicatement, sans le lui balancer à la figure. Puis il la porta à la bouche, et, l'alluma avec son briquet. Il tira une fois, et, ayant apparement pris son calmant quotidien, il écouta ce qu'elle avait à lui dire. Elle le cherchait ? Il fronça les sourcils et baissa la main qui tenait la cigarette, après quoi il secoua la tête en recrachant dans un souffle rapide la fumée qu'il venait d'avaler.

Tu me .. cherchais ? répéta-t-il, comme s'il trouvait ça un peu louche. On sentait encore l'énervement lui titiller les membres, et, le tremblement qui marquait la main qu itenait la clope trahissait définitivement son addiction au tabac. Avec les lois que le gouvernement admettaient en ce moment.. Il était mal barré.

Elle le regarda tremblé puis dit :

Oui jte cherché !

Elle dit sans sans sourier puis dit :

Sa va faire deux semaines que je t'es pas vu donc je te cherché!

Elle se mit a lui sourire puis finalement elle aussi prit une cigarette l'odeur lui donner envie elle l'alluma puis tira une première bouffé , puis recracha la fumée.

Ah mais ça c'est normal ! J'me suis pas pointé en cours depuis deux semaines parce que ça me soule ! affirma-t-il ensuite en portant la cigarette aux lèvres, embrassant à peine la partie orangée de la clope, après quoi il laissa la fumée s'échapper par le nez. Il vit qu'Avril avait été influencée par l'odeur de la cigarette, et, en portait une à la bouche aussi. Apparement elle avait commencé elle aussi.. Ils seraient deux à se faire chier dehors, lorsqu'il pleuvrait et venterait dehors et que tout le monde serait bien au chaud. Espèce de loi anti-tabac à la c*n..

J'vais peut-être revenir cette semaine, si j'ai la motivation d'le faire l'matin ! fit-il en regardant autour de lui. Et oui, il séchait les cours. Et les professeurs en avait rien à faire, que dalle. niet.

Elle le regarda portant le bout de sa cigarette a la bouche puis après avoirs respirer une bouché recracha la fumée par le nez.
Elle dit :

Mais tu a intérét de revenir ! Parceque c'est trop nul sans t...

Elle ne finit pas sa phrase parce que bah c'est comme sa. Elle le regarda dans les yeux.

Il cessa d'expirer la fumée lorsqu'il entendit le début de la phrase de la jeune fille. Alors donc, comme ça, ils s'emmerdaient sans lui ? Puis il termina simplement d'expirer sa fumée, tranquillement, après quoi il prit la parole en tapotant sur sa cigarette pour se débarasser de la cendre. Il se clarifia la gorge en toussant légèrement, puis il secoua la tête pour virer une mèche de cheveux rebelle qui lui gâchait la vue, après quoi il prit la parole :

Ben j'vais rev'nir alors ! J'ai remis à jour toutes les conneries que je peux faire ! affirma-t-il ensuite, comme pour garder la conversation en route, après quoi il reprit : J'crois que j'vais faire flipper le prof de maths si je jette un compas non loin de son visage.. Pis si je me fais exclure, tant pis pour eux ! Ils s'emmerderont à réciter leurs p****s de cours à la c*n sans moi ! fit-il, presque en le crachant du fond de la gorge. Puis il regarda Avril. Entre rebelles, ils devaient se comprendre.. non ?

Ele rigola puis dit :

Oui sa doit leur manquaient au profs les conneries de Lucas Felton!

Elle aspira un bouffé puis la recracha aussitôt.:

Alors ques que tu as fait pendant ces deux semaines ?

Les conneries de Lucas Felton, répéta-t-il en regardant le ciel gris au dessus de leurs têtes. Puis il tira de nouveau sur sa cigarette, après quoi il baissa de nouveau le regard, pour le poser sur Avril, histoire de ne pas perdre le contact. Il avait une petite coulée de sang le long de la tempe et de la lèvre, mais ça ne semblait pas le géner. Apparement habitué.

J'ai traîné un peu avec des types louches pour récupérer de la Coke, j'ai essayé d'hacker deux trois sites et j'me suis baladé en ville comme aujourd'hui.. Pourquoi ? demanda-t-il, apparement curieux. Et ce qu'il venait de dire, il avait pas peur de l'avouer, cela se voyait, puisqu'il l'avait dit sans problèmes, entre deux bouffées de cigarette. Il expira longuement, une petite fumée toute grise, après quoi il regarda sa cigarette, et, celle ci étant presque finie, il la vira de sa main d'un geste rapide des doigts, pour la laisser aller s'éteindre sur le goudron. Histoire de la laisser se consumer pile devant un vendeur de chocolats, comme ça, les gamins s'approcheraient pas de son stand..

April le regarda un peu bizarement puis aspira sa dernière bouffé et jetta le mégot au sol , en recrachant la fumée elle dit :

Ah de la drogue , rien que sa ?

Elle lui fit un tit sourire ironique et dit :

Non comme sa c'était pour savoir...

Raa elle l'aimé mais elle ne lui avait jamais dit!

Personnellement, on se demanderait comme on ferait jamais pour aimer un type comme Lucas. Et oui, il était tête brûlée jusqu'au coeur de son système nerveux, et, ses passes-temps le trahissaient. Il n'aimait pas les cours, aimait la violence, le sang et tout le tralala. Fallait lui trouver un truc.. Mais LE truc, il serait très difficile à trouver. Bref.

Et oui, de la drogue, rien que ça ! T'en veux ? demanda-t-il en fourrant la main dans la poche arrière de son jean et sortant un petit sachet transparent contenant une fine poudre blanche, mais il la camoufla rapidement dans une poche plus petite dans sa veste, histoire de ne pas se faire flécher à vue. Il lui adressa un sourire, cette fois sans le vouloir, qui sembla plus réussit que celui de tout à l'heure, puisqu'il s'en rendit compte et le sourire se traduisit dans son regard, ce qui était très rare chez Lucas.

Elle le regarda puis dit :

nan , jveut pas !

Elle lui souria ouais premier sourire de Lucas a marquer dans les archives !

Il lui adressa un clin d'oeil, rarissime chez lui, après quoi il fourra ses mains dans les poches arrières de son pantalon. Il se mit ensuite à marcher, en attendant qu'Avril le suive. En fait, ses sentiments pour elle, en ce moment, là, alors qu'ils parlaient de lui et de lui seulement, il n'y pensait pas trop, il allait donc pas lui faire des avances. T^te brûlée jusqu'aux os, comme dit ci-dessus. Lorsqu'elle lui refusa la proposition de lui filer de la drogue, il haussa simplement les épaules. Lui, il y était un peu accro, mais pas trop trop.. Bref.

Et toi, les cours, tu y es allée ? questionna-t-il.

Elle le suivit vu qu'il commencer a marchait puis quand il lui posa cette question elle dit :

Euh , un coup oui un coup non! Ma soeur c'est battu avec un nouveau et lui a mis un coup de couteau ! Et comme on n'as sécher les cours on a eut trois heures de colles et deux mois de traveux généraux!

Elle réfléchissa et dit :

D'ailleurs on y est jamais aller ! Pour le coup de couteaux personne la su du moins pas encore!

Lorsqu'il entendit que sa soeur avait mis un coup de couteau à un nouveau, il eut un rire amusé, comme s'il n'y croyait pas. Enfin, lui, frappait bien tout le monde à tort et à travers, mais le couteau, c'était différent ! Il tourna le regard vers Avril, après quoi il écouta la suite de son récit.

J'y suis jamais allé à des trucs comme ça moi ! fit-il, alors qu'il finissait de parler, et, il rajouta, Pour le coup de couteau, tu lui diras chapeau de ma part ! affirma-t-il. Si Avril avait espéré le voir romantique et capable de la tirer dans une ruelle pour faire bisou-bisou, elle avait vu à côté, parce que là, Lucas était sur terre, et pas sur la planète amour.

Elle rigola et dit :

Je lui dirais !

Elle souriat et se dit a elle même :

*Fou c'est désespérant ! Il me voit que en amie...*

Soudainement, Lucas cessa de marcher. Puis il retira ses mains des poches, et regarda Avril. En fronçant les sourcils, après quoi il se passa la langue sur la lèvre inférieure pour s'effacer du sang, après quoi il prit la parole :

Toi, t'as quelque chose qui te tracasse ! fit-il, en la montrant du doigt, comme pour mettre le fait en évidence. Mais comme Lucas avait l'hbaitude de foncer tête baissée sans regarder, il ne vit ni un regard amoureux, ni autre chose, se contentant d'attendre une réponse à son allocution verbale.

Avril leva les bras en l'air comme si on lui foutter une arme sur la nuque et dit :

Moi , non il n'y a rien !

Ensuite elle rebessa ses bras lui fit un petit sourire et continua a marcher.

Lorsqu'elle leva les bras et répondit que non il n'y avait rien que la tracassais, Lucas s'arrêta pile devant elle, en lui barrant le chemin pour l'empêcher d'avancer. Puis il fronça les sourcils, et alors qu'il cherchait à se faire imposant il attendit qu'elle s'explique, sans lui demander directement. Les cachoteries, il fallait pas lui en faire et lorsqu'il se mettait dans la tête de faire quelque chose, il fallait qu'il le fasse, coûte que coûte. Et là, malheureusemen tpour Avril, c'était découvrir ce qu'elle avait. Même si ça s'annonçait orageux.

Vas y, dit le ! Tu me cacheras pas ça longtemps ! fit-il, en arquant la bouche en une sorte de grimace qui montrait qu'il ne laisserait pas la partie s'arrêter trop rapidement, et, il la rattraperait en courant si elle voulait partir en courant derrière lui. Il attendit une réponse de sa part en croisant les bras sur le thorax après quoi il fronça les sourcils.

Avril ne savait plus quoi lui dire , fuir aurait été con de sa part mais elle ne voulais pas lui dire la vérité:

Je te dit que tout vas bien !

Elle le poussa de son chemin et recommença a marcher.
Avril aussi était une vrai tête brulé et tête de mule en plus !

Lucas était maintenant plongé dans son truc.. Et ce truc, c'était trouver ce qui tracassait Avril. Tête brûlée et tête dure, en plus. Lorsqu'il la vit reprendre sa marche, il fronça les sourcils, et, il la rattrapa, lui saisit le poignet, sans lui faire de mal et la tira vers lui, arquant les sourcils pour lui dire ensuite :

Ne me fait pas de cachoteries Avril.. Je vois quand quelque chose ne va pas, alors ne nie pas que tu as un tracas ! fit-il, en haussant légèrement le ton, histoire de bien montrer qu'il n'avait pas peur de passer aux mains. Et oui, quand môssieur voulait quelque chose, il se battait pour l'avoir si cette dernière chose ne lui venait pas toute seule..